Les USA, toujours plus soucieux de leur sécurité, et dans le cadre de la lutte contre le terrorisme ont envoyé la semaine dernière un protocole à tous les pays européens. Selon Rue89, ce texte comporte de nouvelles revendications des Etats-Unis, en ce qui concerne les vols transatlantiques.
On y trouve, en vrac, l'obligation d'obtenir une autorisation de vol électronique avant d'embarquer, la transmission d'informations sur les passagers qui ne font que survoler le territoire américain ainsi que sur ceux qui accompagnent les mineurs et les malades mais également sur les passeports perdus ou volés, la présence d'agents de sécurité américains à bord des vols etc.
La République Tchèque a décidé de faire cavalier seul et de signer cet accord. Or, le problème, toujours selon Rue89 qui cite des sources privées, est que les données, une fois collectées par les Américains, leur "échappent totalement". En résumé, la protection garantie concernant les données des voyageurs est encore loin d'être à la hauteur des revendications grandissantes des USA.
Il semblerait que plusieurs pays européens se soient montrés indignés, fustigeant le caractère "déplacé" et "inacceptable" des demandes de la première puissance économique du monde. Le débat avait déjà fait rage à l'occasion du compromis PNR EU-USA.
On y trouve, en vrac, l'obligation d'obtenir une autorisation de vol électronique avant d'embarquer, la transmission d'informations sur les passagers qui ne font que survoler le territoire américain ainsi que sur ceux qui accompagnent les mineurs et les malades mais également sur les passeports perdus ou volés, la présence d'agents de sécurité américains à bord des vols etc.
La République Tchèque a décidé de faire cavalier seul et de signer cet accord. Or, le problème, toujours selon Rue89 qui cite des sources privées, est que les données, une fois collectées par les Américains, leur "échappent totalement". En résumé, la protection garantie concernant les données des voyageurs est encore loin d'être à la hauteur des revendications grandissantes des USA.
Il semblerait que plusieurs pays européens se soient montrés indignés, fustigeant le caractère "déplacé" et "inacceptable" des demandes de la première puissance économique du monde. Le débat avait déjà fait rage à l'occasion du compromis PNR EU-USA.
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